Très souvent, les enfants et les adolescents souffrent d’un excès de poids.
Tout cela est dû au fait que leur métabolisme n’est pas encore stabilisé.
Mais l’enfant brésilien, nommé Misael Caldoño Abreu, bat tous les records concevables et inimaginables. Misael est né en 2011.
Il est né tard, sa mère avait 37 ans au moment de la naissance de l’enfant.
Le bébé a montré un véritable amour pour la nourriture dès le premier mois ; au cours des 30 premiers jours de sa vie, le bébé a pris trois kilogrammes, ce qui a impressionné tous les médecins qui l’ont vu.
Mais la vitesse de prise de poids n’a pas changé avec l’âge.
Déjà à l’âge de cinq ans, le garçon a commencé à peser comme un homme adulte.
Le poids maximum à ce moment-là était de 80 kilogrammes.
Ensuite, les médecins ont tiré la sonnette d’alarme et ont commencé à examiner l’enfant pour comprendre si cet état menaçait sa vie ou non.
Un examen complet a révélé des problèmes avec la glande thyroïde et une maladie génétique rare, le syndrome de Prader-Willi congénital.
Cette maladie est due au fait qu’un fragment de gènes du père est perdu pour une raison quelconque.
Le syndrome a été décrit pour la première fois en 1956, il est mal compris et survient chez un enfant sur 15 000.
Il se caractérise généralement par l’obésité, la retardation mentale, la dysmorphie faciale et d’autres défauts.
C’est cette maladie qui fait que le garçon se sent constamment affamé.
Les médecins brésiliens ne comprennent pas comment aider le garçon.
Le travail avec un psychologue, la restriction alimentaire, etc., n’ont en rien aidé.
En fin de compte, on a prescrit au garçon des promenades quotidiennes, mais même là, il ne peut pas se débrouiller tout seul, ses parents doivent le tenir lorsqu’il se déplace.
Mais les parents espèrent pouvoir envoyer l’enfant dans un autre pays où la médecine est plus développée.
C’est une question de vie ou de mort pour un jeune citoyen du Brésil.
Le fait est que pendant son sommeil, sa respiration s’arrête parfois. Et seule une thérapie complexe peut aider.
